Hypertrophie de la prostate: causes, traitement naturel

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L’adénome de la prostate, autrement appelé Hypertrophie (ou Hyperplasie) Bénigne de la Prostate (HBP) est une tumeur bénigne, qui se traduit par une augmentation du volume de cette glande endocrine qui appuie sur la vessie. Il en résulte des troubles urinaires. Quel traitement naturel pour l'hypertrophie de la prostate?

Définition et termes-clés

Ruban bleu: il symbolise le cancer et l'hypertrophie de la prostate.

L'hypertrophie de la prostate se caractérise par une augmentation de cette glande, qui peut alors faire pression sur la vessie. Il en résulte des troubles urinaires.
Cette pathologie ne doit pas être confondue avec une prostatite aiguë, qui est d’origine infectieuse, bactérienne.

Il faut également différencier l’adénome de la prostate du cancer: les premiers symptômes sont les mêmes (dysurie, voir ci-dessous) mais au contraire de l’adénome, le cancer de la prostate est une tumeur maligne, et le deuxième cancer le plus fréquent, chez l’homme.

Symptômes

Du fait de sa proximité avec la vessie, une augmentation du volume de la prostate entraîne une congestion pubienne avec une sensation de vessie pleine et se caractérise généralement par des besoins impérieux.

Elle se traduit par une pollakiurie, c'est-à-dire le besoin d’uriner plusieurs fois par jour, ou au cours de la nuit (nycturie) obligeant à des levers nocturnes. Cette dysurie, dysfonctionnement de la fonction urinaire, se manifeste souvent également par une faiblesse du jet urinaire, et la sensation d’une miction incomplète. C'est-à-dire qu’il peut y avoir des gouttes après la miction, et de manière générale, une difficulté fréquente à commencer ou a contrario à terminer une miction.

Ces symptômes1 doivent être distingués de ceux d’une prostatite, ou inflammation de la prostate. En effet, notamment dans le cas d’une prostatite aiguë d’origine infectieuse, il y aura en plus d’autres symptômes comme la douleur à la palpation (toucher rectal), de la fièvre, des frissons associés à des écoulements urinaires purulents, des douleurs articulaires et / ou musculaires, ou des douleurs lombaires.

Attention, l’Hypertrophie Bénigne de la Prostate est généralement un « adénome symptomatique  non compliqué » qui se traite assez bien par des plantes ou des médicaments (les premiers médicaments étaient des extraits de plantes, voir ci-dessous), mais peut se compliquer de symptômes aggravés : rétention urinaire chronique ou aiguë, voire insuffisance rénale, infection urinaire (par rétention d’urine), formation d’un calcul, ou plus rarementhyperactivité de la vessie.

Prévalence

Fréquente, l’Hypertrophie Bénigne de la Prostate touche généralement les hommes de plus de 50 ans, mais peut apparaître dès la quarantaine. Les chiffres varient mais on estime que la  prévalence est de 2,7 % avant 50 ans, pour atteindre 24 % à l’âge de 80 ans; cette prévalence peut même s'élever à 46% dans certains cas. On estime que 2 hommes sur 3 souffrent de troubles de la prostate à partir de la cinquantaine.

Causes médicales

Les causes2 qui peuvent expliquer la prévalence de ce problème urinaire si fréquent chez les hommes peuvent être de plusieurs ordres.

Facteurs endocriniens exogènes ou environnementaux (perturbateurs endocriniens)

Dans notre environnement, même avec une alimentation riche en fruits et légumes issus de l’agriculture biologique, nous sommes exposés à des perturbateurs de l’équilibre hormonal directement.

On peut citer par exemple l’eau du robinet, du fait de la pollution plus que probable des eaux de surface par les pesticides de synthèse, mais également par certains médicaments comme la pilule contraceptive, du fait d’un traitement insuffisant des eaux usées (polluées par les hormones).

En effet, il faut savoir que les stations d’épuration n’éliminent pas totalement les résidus de pesticides, de molécules chimiques ou d’hormones, que celles-ci soient d’origine naturelle ou de synthèse. Au niveau des causes environnementales, on peut penser également aux champs traités par les pesticides.

Facteurs endocriniens endogènes

La prostate est composée de 5 zones3, les deux principales étant la zone centrale et la zone périphérique ; la troisième zone qui est affectée par l’HBP se situe autour de l’urètre, elle est d’origine mésodermique et est appelée zone transitionnelle ; c’est elle qui est sujette à l’adénome mais non au cancer.

La zone externe de la prostate d’origine endodermique est elle sujette au cancer mais pas à l’adénome.  En résumé, les deux pathologies sont différentes : adénome et cancer affectent deux tissus différents de la prostate. C’est le diagnostic qui fera la différence.

Dysfonctionnement du métabolisme hormonal

La prostate sécrète un liquide laiteux qui contient de l’acide citrique, de la phosphatase acide, et des enzymes protéolytiques (qui dissolvent les protéines) : le PSA (Prostate Specific Antigen), le pepsinogène, le lysozyme, l’amylase, l’hyaluronidase.

L’HBP est un processus hyperplasique5, c'est-à-dire entraînant une multiplication des cellules. Cette prolifération cellulaire résulte des hormones masculines, les androgènes, par le biais de la DHT (dihydro-testostérone), forme dérivée de la testostérone et élaborée dans les cellules de la prostate par l’enzyme 5-alpha-réductase. L’une des causes de l’HBP est donc un dysfonctionnement du métabolisme hormonal (d’origine endogène ou exogène, voir ci-dessus).

Système nerveux

Les cellules musculaires lisses stimulées par le Système Nerveux Végétatif sympathique vont se contracter. L’une des causes peut donc être une hypersympathicotonie contractant le muscle lisse.

Cause psychologique

On ne peut exclure que des facteurs de stress, de troubles émotionnels d’origine sexuelle, ou une situation conflictuelle puissent être à l’origine du dysfonctionnement hormonal, ou plus particulièrement du dysfonctionnement nerveux végétatif (contraction réflexe par le Système Nerveux Autonome ou Végétatif).

Causes de terrain

Nous verrons qu’une hygiène de vie permet de prévenir ou réduire l’évolution de l’hypertrophie de la prostate, comme une activité physique régulière, mais à condition d’écarter certaines causes.

Activités sportives

Le vélo ou le cheval ne sont pas très conseillés en cas d’adénome de la prostate.

Sous-vêtements et vêtements

Les slips ou les jeans trop serrés ne sont pas non plus l’idéal car ils compriment la zone pelvienne, le périnée. Mieux vaut opter pour un caleçon et un pantalon plus souple.

L'hérédité

Même si elle peut être recherchée, cette cause n’est pas forcément toujours mise en évidence. Il peut être néanmoins intéressant de rechercher d’autres cas dans la famille.

L'obésité

L'obésité semble être un facteur de risque de l'hypertrophie de la prostate.

Diagnostic

Le diagnostic de l’HBP ou hypertrophie de la prostate repose essentiellement sur:

  • L’interrogatoire auprès d’un généraliste, suivi le cas échéant d’une consultation chez le spécialiste : l’urologue.
  • Le toucher rectal, qui permet de vérifier si la glande présente des indurations (en cas de cancer) et en premier lieu d’évaluer son volume.
  • Le dosage du PSA (Prostate Specific Antigen) ou Antigène Prostatique Spécifique pour écarter l’hypothèse de cancer de la prostate. Plus précisément l’examen au microscope des cellules prélevées (biopsie) permettra de différencier l’adénome du cancer.
  • Un test urinaire clinique vérifiant que la vessie est bien vidée, ou alors on pratiquera une évaluation du résidu dans la vessie par échographie. Un examen plus détaillé est la cystométrie, qui consiste à mesurer les débits urinaires à l’aide de sondes (cathéters) et d’un débitmètre.
  • Un Examen CytoBactériologique des Urines (ECBU) pourra être réalisé en cas de suspicion d’infection, ou de sang dans les urines (hématurie). Il sera associé à un antibiogramme qui évaluera les antibiotiques les plus efficaces (ou un aromatogramme pour ce qui concerne les huiles essentielles), 
  • Eventuellement une échographie avec une sonde rectale peut être réalisée.  Mais cet examen n’est pas systématique.
  • Au besoin, cette échographie sera associée à une biopsie pour écarter le risque de cancer.

Par ailleurs, lors de la consultation, l’urologue va établir un score qui fait consensus aujourd’hui : l’IPSS ou International Prostate System Score et qui est validé par l’Association Française d’Urologie (AFU).

Médicaments

Les premiers médicaments développés dans le traitement de l'HBP sont à base de plantes  et ont été mis sur le marché dans les années 19904 :

  • Tadenan© (Pygeum africanum) : extrait d’écorce de prunier d’Afrique.
  • Permixon© (Serenoa repens ou Sabal serrulata) : extrait de fruit de palmier de Floride.

On les utilise traditionnellement pour des troubles mineurs. Et ils n’ont pas d’effets secondaires.

Par la suite, les laboratoires pharmaceutiques ont développé les alpha-bloquants adrénergiques, les molécules actives génériques étant les suivantes :

  • Prazosine (Minipress©)
  • Térazosine (Hytrine©)
  • Tamsulosine (Omexel©, Omix©, Josir©…)
  • Alfuzone (Xatral©…)
  • Doxazosine (Zoxan©)

Ils présentent les effets secondaires suivants :

  • Hypotension orthostatique potentiellement dangereuse.
  • Troubles de l’orgasme.
  • Ejaculation rétrograde (c'est-à-dire que le sperme est renvoyé vers la vessie).

Ils sont parfois associés à des anticholinergiques (Ceris©, Ditropan©).

Autre classe de médicaments, les inhibiteurs de la 5-alpha-réductase sont moins efficaces, moins indiqués dans le traitement de l’hypertrophie de la prostate que les alpha-bloquants. Mais ils présentent l’avantage d’agir efficacement pour réduire le taux de PSA :

  • Finastéride (Chibro-Proscar©)
  • Dutastéride (Avodart©)

Ils présentent les effets secondaires suivants :

  • Diminution de la libido.
  • Gynécomastie (développement de la poitrine).

Lorsque le traitement médicamenteux s’avère insuffisant, ou en cas de symptômes aggravés, il devient nécessaire de compléter les traitements précédents ou d’intervenir chirurgicalement lorsque le volume de l’adénome devient important (80 ml et plus) :

  • En cas de rétention urinaire aiguë, mise en place d’une sonde pour vider la vessie en urgence.
  • Extraction d’un calcul en cas de rétention chronique.
  • Traitement antibiotique en cas d’infection urinaire.
  • Prostatectomie totale : la prostate est retirée par chirurgie. Souvent le nerf érectile est touché et cela peut entraîner une impuissance définitive. Les autres complications peuvent être : incontinence transitoire, rétention ou infection urinaire, caillots, hémorragies, éjaculation rétrograde.
  • Adénomectomie voie haute : c'est-à-dire la chirurgie de l’adénome. Seule la tumeur est opérée.
  • Résection trans-urétrale : l’adénome est retiré par copeaux. Il y a des risques d’incontinence, d’hémorragies, de caillots mais surtout d’éjaculation rétrograde. Cette opération se fait avec l’une des techniques suivantes :
    • Chirurgie laser Yag : KTP argon ou holmium.
    • Electrovaporisation : anse électrique monopolaire ou bipolaire.
  • Hyperthermie
  • Cryothérapie
  • Ondes : micro-ondes, ultrasons

En parallèle des médicaments, quel traitement naturel peut être proposé pour soulager l'hypertrophie de la prostate?

Hygiène de vie

En cas d'hypertrophie de la prostate, le premier traitement naturel peut être la modification de l'hygiène de vie.

Elle repose essentiellement sur des règles simples, notamment en termes d’alimentation et de boissons:

  • Diminution de  la consommation de vins blancs, d’alcools  forts, de bière, de cidre, de champagne.
  • Réduction de la consommation de café, et de thé noir. Le thé vert permet dans une certaine mesure de prévenir le cancer.
  • Exercice physique régulier (en évitant l’équitation et le vélo) : marche, course, natation
  • Eviter la position assise prolongée.
  • Activité sexuelle régulière.
  • Eviter les boissons avant le coucher, vider la vessie avant le coucher ou avant un voyage, une réunion…il est préférable d’uriner dès que le besoin se fait sentir.
  • Boire des eaux peu minéralisées, à raison d’1 litre et demi par jour.
  • Réduire voire supprimer la consommation de fromages, notamment de vache mais aussi de brebis (roquefort).
  • Eviter les repas trop riches, trop épicés, notamment le soir.
  • Aliments à privilégier : oignon, ail, échalote, brocolis al dente. Tomate cuite, tomate séchée, sauce tomate, riche en lycopène.
  • Eviter les plantes phyto-oestrogènes : houblon (et bière), soja, ginseng, éleuthérocoque, sauges, réglisse.
  • Lutter contre la constipation en consommant des crudités, des fibres.

Hypertrophie de la prostate: quel traitement naturel?

Pratiquement sans effets secondaires, il existe plusieurs alternatives à la médecine conventionnelle pour traiter un adénome bénin de la prostate, dans les domaines de la phytothérapie, de l’aromathérapie et de la gemmothérapie.

Phytothérapie: tisane, teinture-mère, gélule, poudre

Outre les aliments cités plus haut pour leur action préventive voire curative, la phytothérapie5 est également un traitement naturel de premier choix, en cas d'hypertrophie de la prostate.

Plusieurs plantes6 ont été utilisées bien avant la mise au point des premiers traitements médicamenteux, principalement les suivantes :

  • Epilobe à petites fleurs (Epilobium parviflorum) : popularisée par la guérisseuse autrichienne Maria Treben7, la partie aérienne de l’épilobe à petites fleurs ainsi que d’autres espèces d’épilobes ont fait l’objet d’études confirmant son intérêt. Elle contient des flavonoïdes, des tanins et du β-sitostérol. On la prépare en tisane ou en teinture-mère
  • Ortie piquante (Urtica dioïca) : c’est la racine qui a des propriétés contre l’HBP. Elle contient des lectines, des dérivés du sitostérol, des polysaccharides, des lignanes, des céramides, des acides gras et des tanins. Les études ont prouvé son efficacité. On la prépare en décoction, en teinture-mère ou en EPS (Extrait de Plante Standardisé)
  • Prunier d’Afrique (Pygeum africanum), écorce : c’est un décongestionnant de la prostate. L’écorce contient des acides gras, des alcanols linéaires, du β-sitostérol, et des acides triterpéniques pentacycliques. On la prépare en décoction ou en teinture-mère, et il existe un extrait médicamenteux (Tadenan©)
  • Palmier de Floride = Sabal serrulata ou saw palmetto (Serenoa repens), fruit. Le fruit du palmier de Floride a des propriétés anti-hormonales : anti-androgène et anti-œstrogène. C’est également un décongestionnant de cette glande qui est indiqué contre l’Hyperplasie Bénigne de la Prostate. Il contient des acides gras (huile), des phytostérols, des flavonoïdes, des alcanes et alcanols et des polysaccharides. On le prépare en teinture-mère, ou éventuellement en décoction.
  • Graines et huile de courge (Cucurbita pepo). Les graines de courge sont un remède bien connu comme vermifuge mais aussi  contre l’adénome de la prostate. L’huile contient des acides gras oléique et linoléique (omégas 9 et 6) et les graines contiennent des delta-7-stérols et du β-sitostérol, un acide aminé cyclique et du squalène. 1 cuillère à soupe de graines matin et soir, ou une cuillère à café d’huile de courge matin et soir.
  • Jus de grenade (Punica granatum) concentré : le fruit de la grenade est riche en triterpènes (acide ursolique), acides phénols (acide chlorogénique), anthocyanes, tanins (punicalagines), vitamines, minéraux et isoflavones. 1 à 2 verres par jour

Aromathérapie

L'aromathérapie7, autre traitement naturel, peut être également employée.

En application locale, plusieurs Huiles Essentielles (HE) peuvent être employées seules ou en mélange, diluées dans une huile végétale à 10 voire 20 %. Ce mélange sera appliqué au périnée et au pubis, matin et soir. Ces HE ont toutes une action décongestionnante sur la prostate. Mais celles qui contiennent des sesquiterpénols sont déconseillées en cas de cancer hormono-dépendant comme le cancer de la prostate :

  • Lentisque pistachier (Pistacia lentiscus). Il contient des terpènes (α- et β-pinènes), des sesquiterpènes, des terpénols, des sesquiterpénols.
  • Patchouli (Pogostemon cablin) : déconseillé en cas de cancer de la prostate. Il contient des sesquiterpènes et des sesquiterpénols (patchoulol).
  • Cyprès (Cupressus sempervirens) : déconseillé en cas de cancer. Il contient des terpènes (α-pinène), des sesquiterpénols (cédrol) et des esters.
  • Cèdre de l’Atlas (Cedrus atlantica) : ne pas utiliser en cas de cancer. Elle contient des sesquiterpènes (himachalènes), des sesquiterpénols (cédrol), des sesquiterpénones (atlantones).
  • Myrte vert à cinéole (Myrtus communis ct cinéole). Elle contient des oxydes (1.8 cinéole), des terpènes, des terpénols, des sesquiterpènes et des esters.
  • Basilic à feuilles de laitue (Ocimum basilicum var. feuilles de laitue). Il contient des terpénols (linalol), des phénols méthyl-éthers (chavicol), des oxydes et des phénols.

Gemmothérapie

Pour les personnes présentant une hypertrophie de la prostate, la gemmothérapie8, est également un autre traitement naturel adapté.

Principalement deux bourgeons ont fait leurs preuves sur l’adénome. Ils se prennent à raison de 5 gouttes 3 fois par jour, dans un verre d’eau pendant 3 semaines. On peut commencer par une cure d’attaque de 10 gouttes 3 fois par jour, pendant 3 semaines.

  • Bourgeon de poirier (Pyrus communis)
  • Bourgeon de séquoia (Sequoia gigantea) qui pourra être associé au
  • Bourgeon d’aulne de montagne, aulne blanc (Alnus incana)

Compléments alimentaires

Outre l’huile de courge qui peut être disponible en gélules, il y a également l’huile de germe de blé, riche en vitamine E, qui sera conseillée en complément.

Questions fréquentes

Hypertrophie de la Prostate: qu'est-ce que c'est?

L'hypertrophie de la prostate est une tumeur bégnine de la prostate, qui favorise l'augmentation de son volume. Ce qui peut alors entraîner des troubles urinaires.

Quel traitement naturel envisager?

- La phytothérapie et l'aromathérapie
- La gemmothérapie
- L'usage de compléments alimentaires

Quelles sont les autres solutions pour soulager les symptômes de cette maladie?

- Réduire la consommation d'alcool ou de café
- Pratique d'une activité sportive régulière
- Boire de l'eau peu minéralisée
- Favoriser ou supprimer certains aliments de l'alimentation


  • 1Le manuel Merck des symptômes, Merck Research Laboratories, NJ 2008, éditions d’Après
  • 2Guide de thérapeutique PERLEMUTER, éditions Elsevier Masson, 2019
  • 3Principes d’anatomie et de Physiologie, Tortora et Grabowski, éditions De Boeck Université
  • 4Traité Pratique de Phytothérapie, p. 522, Dr Jean-Michel Morel, éditions Grancher, Paris 2008
  • 5Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, Pr Philippe Even et Pr Bernard Debré, éditions du Cherche Midi, Paris 2012
  • 6La santé à la pharmacie du bon dieu, Maria Treben, éditions Ensthaler, réédition 2007
  • 7Petit Larousse des Huiles Essentielles, Thierry Folliard, éditions Larousse, Paris 2014 réédité
  • 8Gemmothérapie, les bourgeons au service la santé, Stéphane Boistard, éditions de Terran 2016
Thierry Folliard

Naturopathe depuis 2009. Auteur de plusieurs livres dont la bible Larousse des huiles essentielles (2016) et l’ABC de l’herboristerie familiale (2009). Consulte à Paris 13ème.