Maladie cœliaque: causes, traitement naturel

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La maladie cœliaque est une pathologie qui touche l’intestin et associe une prédisposition génétique et un désordre auto-immun. Il s’agit d’une réponse immunitaire anormale, à certains peptides contenus dans le gluten de l’alimentation.
C’est une pathologie qui touche surtout la population caucasienne avec une prévalence de l’ordre de 0,5 à 1% aux États Unis et de 1% en Europe. De plus, on retrouve la pathologie en particulier chez les femmes avec 2 à 3 fois plus de cas par rapport aux hommes. En revanche la maladie est très rare chez les Africains, les Chinois et les Japonais. En France, on estime que 600000 personnes sont atteintes de cette pathologie. La découverte de la maladie se fait souvent dans l’enfance, entre six mois et deux ans, au moment de l’introduction du gluten dans l’alimentation. Elle peut aussi rester discrète durant l’enfance et n’être découverte qu’à l’âge adulte, le plus souvent entre 20 et 40 ans. Pour les personnes atteintes de la maladie cœliaque, quel traitement naturel envisager?

Définition

Découverte de cette pathologie

Produit sans gluten: maladie cœliaque et aliments sans gluten, traitement naturel et causes.

La maladie cœliaque ou encore entéropathie sensible au gluten est une maladie chronique de l’intestin, déclenchée par la consommation du gluten. Plus précisément, il s’agit d’un syndrome de malabsorption en raison d’une atrophie des villosités intestinales, c’est-à-dire les cellules chargées d’absorber les macro- et micronutriments.

La maladie cœliaque est connue dès le deuxième siècle de notre ère, un médecin grec nommé Aretaeus Capadoccia l’ayant dénommée « koeliakos » ce qui signifie « souffrance dans les intestins ». Plus tard, elle fut décrite et détaillée en 1888 par Samuel Gee un pédiatre londonien, mais il fallut attendre 1950 pour qu’un médecin hollandais nommé Willem Karel Dicke fasse le lien entre le blé et la maladie cœliaque.

Ce dernier avait en effet observé que lors de la grande famine de 1945 aux Pays-Bas, l’état de santé de certains enfants s’améliorait lorsqu’ils ne mangeaient pas de blé et que leurs symptômes réapparaissent à sa réintroduction. Willem Dicke et son équipe mirent alors en évidence, le rôle majeur des protéines du blé appelées gliadines.

Qu’est-ce que le gluten?

Le gluten est une protéine que l’on retrouve dans des céréales telles que le blé, le seigle, l’orge ou encore l’épeautre. Le gluten a été décrit pour la première fois en 1745 par Giacomo Beccari, un professeur italien. Le terme « gluten » tient son origine du latin glutinum qui signifie colle ou encore lien.

Le gluten est en effet un complexe élastique qui apparait au moment de l’hydratation et du pétrissage de la farine de blé en particulier. C’est une molécule insoluble formée de deux protéines : les gliadines qui appartiennent à la famille des prolamines et les gluténines.

Les gliadines représentent environ 40 à 50% du grain de blé et les gluténines 30 à 40%. Les gliadines donnent à la pâte ses propriétés d’extensibilité et de fluidité alors que les gluténines donnent l’élasticité, la cohésion ainsi que la résistance à la déformation. Toutes ces qualités sont employées en boulangerie-pâtisserie, ainsi que dans de très nombreux produits alimentaires industriels, ou cosmétiques (rouge à lèvres).

Facteurs d'apparition

Prédisposition génétique

Les porteurs de la maladie cœliaque1 sont dotés de deux gènes au niveau du complexe HLA (système qui permet de faire la différence immunitaire entre ce qui appartient au « soi », c’est à dire à l’individu et ce qui est du « non-soi »), nommés DQ2 et DQ82.

Ces gènes vont coder pour des protéines que l’on va retrouver à la surface des cellules immunitaires avec pour rôle d’informer le système immunitaire de la présence ou non d’ennemis potentiels. Or les gènes DQ2 et DQ8 reconnaissent le gluten avec une acuité telle, qu’il est alors perçu par le système immunitaire comme une menace. Ainsi les gènes HLA DQ2/DQ8 sont présents chez 98,4% des patients atteints. Plus rarement toutefois, certaines personnes atteintes ne sont pas porteuses des gènes DQ2 et/ou DQ8, ainsi que le montre cette étude portant sur 170 malades3 chez qui 1,8% étaient dépourvus de ces gènes.

D’autres facteurs génétiques sont à l’étude tel un polymorphisme génétique sur le gène codant pour le TNF,qui est un groupe de cytokines, c’est-à-dire de protéines impliquées dans l’inflammation4. Mais cette hypothèse reste toutefois à confirmer.

Enfin, un autre marqueur génétique serait impliqué dont le CTLA-4, qui joue un rôle important dans la régulation des réponses inflammatoires par les lymphocytes T. Un polymorphisme de ce gène serait un facteur déterminant, qui prédisposerait à la maladie cœliaque5.

Autres facteurs favorisants

D’autres facteurs peuvent favoriser l’apparition de la maladie cœliaque, comme l’introduction du gluten trop précocement (avant trois mois) ou trop tardivement (après 7 mois). L’allaitement quant à lui aurait un rôle protecteur, en particulier lors de l’introduction du gluten6.

Des infections virales pourraient aussi être aussi en cause mais sans que cela ait été encore démontré de façon indéniable. Dans une étude suédoise menée entre 1987 et 19977, il a été montré que des infections néonatales répétées étaient liées à l’apparition de la maladie.

Certains réovirus, une famille de virus infectant fréquemment les humains et en particulier dans la petite enfance, peuvent interférer avec la tolérance orale aux antigènes alimentaires8. Normalement, le système immunitaire doit pouvoir discerner les molécules hostiles (microbes par exemple), des molécules qui lui sont nécessaires (celles contenues dans les aliments). C’est ce que l’on appelle la tolérance alimentaire et c’est un mécanisme qui s’apprend dans les toutes premières années de la vie. Or, si un agent pathogène, un réovirus par exemple, interfère dans ce mécanisme d’apprentissage, ce qui jusque-là était considéré comme normal, devient pathogène et fait donc l’objet d’une réponse offensive du système immunitaire.

Symptômes

Manifestations classiques

Les symptômes les plus classiques reposent sur la triade :

  • diarrhée;
  • stéatorrhée (graisses dans les selles);
  • perte de poids.

Toutefois, il existe de nombreux autres signes qui peuvent entrer dans le champ d’une maladie cœliaque, tels que des symptômes intestinaux:

  • diarrhée aiguë continue ou intermittente;
  • des périodes de constipation;
  • exacerbation des symptômes intestinaux, par des troubles émotionnels (confusion aisée avec le syndrome de l’intestin irritable).

Ces symptômes peuvent aussi se manifester de la manière suivante:

  • dermatite herpétiforme (éruption cutanée prurigineuse chronique auto-immune) ;
  • aphtose buccale récidivante9 10;
  • une anémie ferriprive ;
  • des troubles neurologiques (épilepsie, migraine,) : les patients atteints de maladie cœliaque ont 1,8 fois plus de risque de souffrir d’épilepsie11 ;
  • troubles de la reproduction (infertilité, fausse-couches à répétition…) : les femmes cœliaques ont un risque de fausse-couche multiplié par 1112 ;
  • déminéralisation osseuse inexpliquée (ostéopénie), voire ostéoporose ou encore arthralgies.

Gluten et maladies auto-immunes

Les personnes atteintes de maladie cœliaque ont un risque plus important de développer une maladie auto-immune, telle que :

  • le diabète de type 113 ;
  • thyroïdite auto-immune, qu’il s’agisse de la maladie de Hashimoto ou de la maladie de Basedow ;
  • dermatite herpétiforme14 ;
  • psoriasis ;
  • vitiligo, bien que le lien soit controversé ;
  • pathologies auto-immunes hépatiques (cholangite biliaire primitive) ;
  • MICI (maladie inflammatoire chronique de l’intestin), avec un risque 5 à 10 fois supérieur pour les personnes atteintes de maladie cœliaque.

Diagnostic

Tests sérologiques

Le diagnostic repose tout d’abord sur les tests sérologiques, c’est-à-dire que l’on va rechercher dans le sérum des anticorps anti-gliadines (IgG et IgA), qui sont des marqueurs spécifiques. En cas de régime sans gluten, les anticorps IgA vont disparaître au bout de trois mois, les IgG six mois.

On peut aussi doser d’autres anticorps, les anti-transglutaminase.
Ce test dispose d'une sensibilité importante.

Toutefois, des tests sérologiques négatifs n’éliminent pas forcément le diagnostic de maladie cœliaque.

Biopsie

Il sera nécessaire de pratiquer une fibroscopie, afin d’apprécier la qualité de la membrane intestinale. Pour ce faire, on introduit un fibroscope dans la bouche et on descend jusqu’au niveau du duodénum, c’est-à-dire la première partie de l’intestin après l’estomac.

Cela permet de constater une perte des plis typiques de la membrane de l'intestin, dans le cas de la maladie cœliaque. Ce qui n’est pas toujours le cas. Le médecin va donc profiter de cet examen, pour effectuer des prélèvements de la membrane, qui seront ensuite analysées en laboratoire. C’est ce que l’on appelle une biopsie, qui pourra révéler une perte partielle ou totale des villosités intestinales, ainsi qu’une augmentation du nombre de lymphocytes (cellules de défense du système immunitaire) au sein de la paroi intestinale. Ces signes sont révélateurs de cette pathologie.

Typage HLA

Enfin, quand les tests sérologiques seront négatifs ou encore chez des personnes ayant déjà un régime sans gluten, il est possible de faire ce que l’on appelle un typage HLA, en prélevant du sang et de déterminer la présence ou non des gènes DQ2 ou DQ8.

Dépistage

Le dépistage est recommandé en raison de la nature en partie génétique de la maladie. C’est un dépistage bien entendu ciblé, qui ne concerne que les proches au premier degré des malades atteints comme les enfants par exemple.

Il est aussi possible de dépister d’autres groupes de personnes comme les patients atteints de maladie auto-immune, ou encore face à une ostéoporose inexpliquée. Enfin, on peut aussi dépister les personnes ayant déjà arrêté de manger du gluten et chez qui, on veut confirmer le diagnostic de maladie cœliaque.

Quelles sont les complications?

La première complication est la résistance au régime sans gluten. C’est-à-dire que le régime est bien observé et pourtant les lésions persistent toujours.

La seconde complication redoutable est la survenue d’un lymphome T invasif, qui est de pronostic plutôt mauvais avec une survie ne dépassant pas 20% à 5 ans. Le risque d’apparition est multiplié par 28, chez de personnes n’observant pas correctement le régime sans gluten15.

Maladie cœliaque: quel traitement naturel?

Pour soulager les symptômes de la maladie cœliaque, quel traitement naturel privilégier?

Alimentation

En cas de maladie cœliaque, le traitement naturel de premier choix est la modification de son alimentation.

Le seul traitement possible pour la maladie cœliaque est l’éviction stricte et définitive du gluten de l’alimentation. Il va donc falloir ôter toutes les céréales contenant du gluten à savoir : le blé, l’orge, le seigle, les épeautres petit et grand.

L’avoine doit être aussi retirée, non pas parce qu’elle contient du gluten mais parce qu’elle est souvent cultivée, puis entreposée dans les mêmes silos que le blé. Il y a alors un risque de contamination. Cela signifie qu’il faut enlever de son alimentation un nombre considérable de produits comme les plats cuisinés, certaines charcuteries, tous les produits de boulangerie, etc… Il faut aussi apprendre à lire les étiquettes, car le gluten se trouve dans de très nombreux aliments. Voici une liste de termes pouvant indiquer la présence de gluten :

  • Amidon de blé
  • Arôme de malt
  • Bière
  • Levure
  • Chapelure
  • Extraits de malt, d’orge, d’orge malté
  • Seigle
  • Seitan
  • Sirop de malt
  • Sirop de glucose…

On peut aussi retrouver du gluten dans de nombreux autres produits comme :

  • Les bouillons cube
  • Le surimi
  • Les plats préparés
  • Les sauces industrielles
  • Certains fromages
  • Des crèmes dessert…

Cette éviction, aussi contraignante soit-elle, est absolument nécessaire pour permettre à la muqueuse de l'intestin de redevenir fonctionnelle et de jouer pleinement son rôle, dans l’absorption des macro- et micronutriments. Le régime sans gluten doit être maintenu à vie, car tout écart provoquera à nouveau des lésions de la muqueuse intestinale et donc le retour de la maladie.

Fort heureusement, il existe de nombreux substituts que l’on trouve désormais facilement dans le commerce. Il faut toutefois faire attention à la composition de ces produits, qui peuvent parfois être riches en acides gras trans et autres additifs alimentaires. Ces derniers peuvent se révéler particulièrement délétères pour la santé intestinale, qu’il s’agisse de la paroi ou encore du microbiote.

Il sera donc préférable d’opter pour des produits frais, si possible que l’on cuisine et réintroduire, au besoin et petit à petit, les fibres alimentaires qui sont nécessaires au bon fonctionnement intestinal et modulant le transit, mais aussi en nourrissant la flore. Il faudra aussi s’attacher à consommer des bonnes graisses, c’est-à-dire riches en acide gras mono-insaturés tel que l’huile d’olive. Il faudra alors également consommer des graisses, riches en acide gras polyinsaturés oméga-3, comme les huiles de colza, de lin ou encore de cameline.

Une supplémentation

Pour les personnes présentant une maladie cœliaque, l'utilisation de probiotiques, autre traitement naturel, peut être également une alternative intéressante.

Au cours de cette pathologie, la supplémentation va être capitale pour restaurer la paroi intestinale mais aussi fournir à l’organisme tous les nutriments, dont il a manqué en raison de la malabsorption que la maladie cœliaque engendre. Et d’ailleurs les études16 montrent que si le régime sans gluten permet de refaire les stocks nécessaires en micronutriments (vitamines et minéraux), il est toutefois nécessaire de supplémenter afin de retrouver un statut optimal.

Fer

C’est souvent la carence en fer, qui est révélatrice d’une maladie cœliaque. Le fer17 s’absorbe à la sortie de l’estomac au niveau du duodénum. Il n’est donc pas étonnant, qu’il soit déficient. Il est donc licite de supplémenter en fer, car il est nécessaire pour l’oxygénation du sang, la production d’énergie ou encore la détoxication hépatique.

La supplémentation devra tenir compte du bilan biologique (ou bilan martial) et on choisira plutôt une forme chélatée du fer comme un bisglycinate par exemple, qui a une meilleure tolérance digestive. Il ne faudra pas oublier de prendre le fer à distance du thé, car celui-ci inhibe son absorption. En revanche, on pourra optimiser son assimilation en le prenant avec un jus d’orange.

B9 et B12

Il est important de s’assurer du statut dans les vitamines B et en particulier les vitamines B9 et B1218, qui peuvent être déficientes en raison de la maladie cœliaque. Elles sont importantes pour la production d’énergie et leur carence peut rentrer dans le champ d’une anémie. Pour s’en assurer il est possible de faire un dosage sanguin de l’homocystéine, qui devra être inférieur ou égal à 7 µmol/L.

Vitamines A, E, K

Ce sont des vitamines liposolubles, c’est-à-dire qu’elles ont besoin de graisses pour pouvoir être absorbées. Or, en cas de maladie cœliaque, les graisses sont mal absorbées; elles se retrouvent dans les selles, ce qui provoque des stéatorrhées. Ces vitamines ne pourront donc pas non plus être absorbées et pourtant, elles sont essentielles pour leur rôle antioxydant (vitamine A et E) ou pour la calcification des os (vitamine K).

Vitamine D

Cette vitamine est aussi liposoluble et donc à besoin de graisses pour pouvoir être absorbée. Elle joue un rôle fondamental, dans la régulation du système immunitaire, ainsi que dans la calcification des os.

Or, la maladie cœliaque peut entrainer une ostéopénie voire une ostéoporose19, et donc une fragilité osseuse. Il est donc important de rehausser le taux de vitamine D20 chez ces personnes en particulier et atteindre un taux sanguin optimal aux alentours de 60 ng/mL.

Magnésium

La maladie cœliaque peut être responsable d’une carence en magnésium en raison de la malabsorption intestinale. De plus, le régime sans gluten peut fournir un peu moins de magnésium, ainsi que le montre cette étude faire sur des enfants atteints de cette pathologie21. La carence en magnésium peut donner des symptômes tels que des crampes, des contractures, de la fatigue, une certaine anxiété ou une irritabilité, ou encore le tressautement d’une paupière que l’on appelle aussi blépharospasme.

Il est recommandé de choisir une forme chélatée de magnésium telle que le bisglycinate du magnésium ou encore le glycérophosphate de magnésium accompagné de vitamine B6 et de taurine, qui sont des épargneurs de magnésium intracellulaires. Les apports journaliers recommandés sont de 360 mg/jour mais c’est cette dose peut être augmentée en cas de nécessité. On évitera les autres formes de magnésium telles que le chlorure, l’oxyde de magnésium, le lactate de magnésium qui peuvent donner des crampes abdominales, voire déclencher des phénomènes de diarrhées.

Probiotiques

La maladie cœliaque a un impact sur le microbiote en favorisant une inflammation de la paroi intestinale et peut donc favoriser l’installation d’une flore pathogène qui pourra, à son tour, aggraver les lésions et donc l’inflammation intestinale. Ainsi les probiotiques peuvent avoir un effet sur les symptômes de la maladie qui peuvent résister au régime sans gluten ainsi que sur la dysbiose22.

En conclusion

La maladie cœliaque a un fort impact sur le confort de vie et peut faire le lit d’autres pathologies en raison des carences en micronutriments qu’elle génère. Il est donc essentiel de la dépister, afin de pouvoir mettre en place rapidement une éviction stricte et définitive du gluten. Il est aussi nécessaire d’être attentif aux formes de la maladie moins évidentes, qui sont nombreuses et qui restent fort longtemps insoupçonnées.

Certes le régime sans gluten est contraignant, mais c’est la seule alternative face à cette affection, afin de garder des cellules intestinales pleinement fonctionnelles. Il est également possible de suivre un traitement naturel adapté, pour soulager les symptômes de la maladie cœliaque.

Questions fréquentes

Qu'est-ce que la maladie cœliaque?

La maladie cœliaque est une pathologie chronique auto-immune de l'intestin.

Quel traitement naturel envisager?

- Une supplémentation en probiotiques
- Une supplémentation en vitamines
- Adoption d'un régime alimentaire adapté

Quel régime alimentaire adopté?

Une alimentation sans gluten doit être privilégiée, avec une éviction stricte et définitive du gluten de l’alimentation.


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Catherine Crapoulet

Naturopathe et formatrice en naturopathie. Diplôme Universitaire de diététique, nutrithérapie et nutraceutique. Diplôme de manipulatrice en radiologie. Consulte à Paris 8ème.