Étapes de la vie de couple

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La vie d’un couple, de sa création à sa fin, est une succession d'étapes ou de périodes évoluant selon une dynamique à la fois propre aux évolutions personnelles des deux individus qui le composent, mais aussi le duo lui-même en tant qu’entité à part entière (vie commune, parentalité, histoire propre, etc.). Elle peut être vue comme le voyage d’un lien d’amour entre deux individus, ce lien va traverser le temps et traverser des espaces, passages qui peuvent être vécus autant avec succès, qui vont conforter le lien, que rencontrer des échecs ou susciter des déceptions, qui viendront fragiliser le lien.

Les liens qui vont le fonder

Particularités

Homme et femme se tenant la main, qui symbolise les étapes de la vie d'un couple.

Plus qu’un lien unique, il est plus juste de distinguer plusieurs liens qui vont unir les deux personnes1 :

Un lien amoureux qui va générer une composante « émotionnelle », irraisonnée, inexplicable et aussi l'intimité, la sensualité, les dimensions érotiques et sexuelles.

Un lien de complicité qui va le construire dans sa dimension de connivence, de joies et de plaisirs communs.

Un lien de communication qui va conditionner la capacité de chaque membre d’être à l’écoute de l’autre et de ses désirs, intégrant une dimension intellectuelle mais aussi une aptitude au réajustement, en fonction du temps qui passe et des événements de vie.

Un lien d’engagement qui traduit l’intention de s’investir dans le couple et de s’impliquer pour qu'il persiste, que les besoins affectifs, sensuels, intellectuels de chacun soient satisfaits. Ce lien vient renforcer le sentiment de sécurité et sa stabilité2.

Ce sont tous ces liens qui vont constituer le socle sur lequel va reposer la stabilité de la relation amoureuse.

Ce sont aussi ces différentes dimensions de liens, qui vont être mises à l’épreuve et dont la résultante fera du couple une entité propre et évolutive avec3 :

  • Un début : la rencontre.
  • Des cycles heureux d’entente et moins heureux de désaccords.
  • Une fin naturelle avec la mort des partenaires âgés ou une déconstruction plus précoce liée aux mésententes.

Le couple humain, une exception

Une relation qui se veut stable, durable au-delà de l’éducation des enfants et en général exclusive, est une exception chez les mammifères4.

Dans la société occidentale, il est défini par l’union amoureuse d’une femme et d’un homme qui envisagent de partager exclusivement ensemble leur vie sexuelle, intime et parentale de façon durable. Il s'agit toutefois d'un un cas particulier parmi toutes les modalités que peuvent prendre les liens conjugaux dans le monde (polygamie, polyandrie, couples successifs/homosexuels, etc)5.

La rencontre

Parmi les étapes de la vie d'un couple, la rencontre est un moment particulier.

Elle se caractérise par un état émotionnel extrêmement fort, l’état amoureux, pouvant à l’extrême être passionnel6.

L’engagement dans une relation amoureuse est une des émotions personnelles et une des relations affectives avec un autre, parmi les plus importantes d’un individu7.

C’est le moment à la fois de la découverte de l’autre et d’un désir particulièrement fort de l’autre, repoussant à la périphérie toute la vie extérieure et ses contraintes.

C’est un moment de grande ouverture à l’autre avec peu de mésententes. L’autre n’a que des qualités ou des qualités tellement essentielles qu’elles effacent tout ce qui pourrait déplaire. On peut décomposer la rencontre en une phase de « pré-attachement », qui vise à favoriser la proximité physique et en particulier sexuelle avec l’autre avant tout et en une phase « d’attachement en voie de constitution », où le désir de créer une relation intime avec l’autre vient se surajouter au désir physique et sexuel8.

La phase « d’agencement » ou de « différenciation »

Parmi les étapes de la vie d'un couple, la période d’agencement est ce moment où l’effervescence amoureuse est calmée, l’état amoureux est apaisé. Ainsi, il s’organise en « négociant » avec la personnalité, la façon de vivre, les obligations professionnelles, etc., de chacun de ses membres9.

C’est le moment où il sort de la bulle de l’état amoureux pour affronter la réalité environnante10.

On décrit également cette période comme la phase « d’attachement proprement dit », durant laquelle chacun vient s’affirmer comme un repère sécuritaire pour l'autre11.

C’est la phase où vont s’affirmer les liens de complicité et les liens de communication. La qualité de ces liens de complicité émotionnelle et de communication lors des débuts de la relation apparait corrélée à la satisfaction de la relation à moyen et long terme. Leur altération est particulièrement associée à la survenue d’une détresse conjugale12.

Il va durant cette phase installer son équilibre entre les personnalités, les idéaux, les habitudes sociales et culturelles, les objectifs personnels de vie de chaque membre, entre la vie intime et sociale. Il rompt l’isolement amoureux qui prévalait lors de la phase de rencontre.

Les rôles de chacun vont alors se distribuer dans l’organisation du couple. C’est souvent la phase des premières mésententes, qui viendront tester la force des liens, la période où l’idéalisation amoureuse vient se heurter à la réalité de l’existence propre de l’autre, de sa personnalité, de ses préférences, de ses habitudes, défauts, etc., on passe de l’état amoureux fusionnel à l’amour dans la vie réelle13.

C’est aussi une phase où chaque membre doit être attentif à l’importance des concessions qu’il fait pour cette relation, pour éviter qu’il ne s’agisse de sacrifices trop importants sur soi et prêts à resurgir à la moindre mésentente dans l’avenir.

La phase de stabilité ou de « famille conjugale »

Après les étapes d’agencement et d’organisation de la vie de couple vient la phase de stabilité, visant à assurer l’équilibre de cette union à moyen et long terme14.

C’est la phase où la relation est intégrée dans la vie sociale, familiale, professionnelle de chacun des membres. Et où en général une nouvelle vie, parentale, vient réduire les moments de disponibilité pour la dimension intime et amoureuse. On passe à la vie de famille15.

On est ici dans une période de « partenariat amoureux », l’autre est la personne sur laquelle on peut avoir confiance, sur laquelle on peut compter. L’attachement sécuritaire établi lors de la phase précédente permet le développement d’une certaine autonomie de chacun16.

C’est aussi la période de survenue des habitudes, de la routine, de l’installation de la vie quotidienne avec ses contraintes domestiques, familiales, professionnelles… C’est une phase piège si le couple n’est pas attentif à sauvegarder son lien amoureux, son intimité, sa complicité, sa communication, en se réservant des moments d’échappement de la réalité quotidienne. Faute de quoi, les liens vont se diluer dans le quotidien au risque de disparaître, et de façon sournoise si des enfants sont venus combler et masquer la perte des liens entre les deux membres17.

Sexuellement c’est la période la plus à risque de perte du désir.

La phase du « nid vide »

Les enfants ont grandi, ils sont autonomes et partent faire leur vie. Dans les étapes de la vie d'un coupe, les deux membres se retrouvent alors tous les deux face à face, sans « effet tampon » des enfants18.

C’est la période possible d’une renaissance de la relation si les liens ont été conservés avec attention, d’une nouvelle liberté, d’une redécouverte, d’une recréation des liens sous un nouveau jour.

Mais c’est aussi possiblement la fin de la diversion parentale qui masquait l’effritement des liens, la triste période de la « comptabilité » des erreurs, des déceptions non verbalisées, des concessions excessives regrettées, avec un risque de déconstruction important, parfois contrecarré par la crainte de la solitude ou par des considérations matérielles.

La phase de vieillissement

Les enfants ont souvent créé une famille à leur tour, les activités professionnelles ont laissé place au temps libre, le temps est passé et l'union est toujours là…

La vie du couple âgé (et l’âge de la relation peut être éminemment variable pour définir le vieillissement) n’est pas strictement dans la continuité de la relation adulte.

Physiquement, socialement, amoureusement, il s'agit d'autres étapes de la vie de couple.

Le vieillissement de ses membres amène ainsi à réaménager les liens en fonction des évolutions organiques physiologiques et pathologiques éventuelles.

Le lien intime peut être atteint dans sa dimension sexuelle mais le lien affectif, sentimental ou sensuel peut être maintenu et même amplifié.

Les liens de complicité et de communication peuvent être maintenus intacts autant que le permettent les fonctions sensorielles (vision, audition) et cognitives (démences). Le maintien d’une relation de qualité, et avec une persistance forte des liens, est associé à la qualité et au bonheur ressenti antérieurement. C’est ce vécu antérieur qui va souvent conditionner le maintien du lien intime, d’une sensualité et d’une sexualité19.

Mais c’est aussi, avec la fin de la vie professionnelle, un face-à-face continu et le risque d’apparition d’une mésentente…

Deux événements physiologiques liés à l’âge, impactant la relation amoureuse

Dans les étapes de la vie d'un couple, deux événements peuvent impacter la vie amoureuse.

• La ménopause chez la femme provient d’une cessation de la fonction hormonale génitale (estrogènes) avec comme conséquences sexuelles une moindre lubrification vaginale, des douleurs dues à une atrophie de la paroi vaginale, une moindre intensité orgasmique et un moindre désir sexuel.

L’andropause chez l’homme résulte également d’une diminution de la production d’hormones sexuelles (testostérone) mais plus progressive et persistant plus tardivement que chez la femme.

La sexualité des personnes âgées

La sexualité des sujets âgés n’est certes pas celle des adultes plus jeunes mais le vieillissement sexuel est souvent bien loin de l’image triste et terne qu’on en a. La persistance ou non d’une activité sexuelle chez la personne âgée peut en effet être d’une grande variabilité selon les individus20.

Néanmoins, le corps du sujet âgé n’est plus son corps d’adulte. C’est un nouveau corps avec des réactions différentes, des sensations différentes, qu’il faut découvrir, accepter et ceci tant pour soi que pour l’autre membre de la relation21.

Chez l’homme, les érections sont moins performantes, nécessitent plus de stimulations et se renouvellent moins rapidement, souvent du fait d’altérations neurovasculaires et de déficit hormonal (andropause). Si le désir de rapports sexuels est éprouvé, elles peuvent être renforcées par des inducteurs de l’érection sous réserve de l’absence de contre-indications cardiologiques.

Vous pouvez en apprendre davantage à ce sujet : Difficultés d’érection : causes et remède naturel

Chez la femme, les obstacles à la sexualité sont par exemple les pathologies pelviennes à type de prolapsus et la sécheresse ou l’atrophie vaginale secondaires à la ménopause, pour lesquelles des traitements simples peuvent être envisagés : Sécheresse vaginale : causes et traitement naturel.

D’autres limitations physiques ont pu faire leur apparition (diminution des capacités à l’effort, douleurs articulaires, etc.), la sexualité doit être douce, plus lente, plus tendre.

Mais elle est loin de se réduire à la pénétration et doit être considérée et favorisée dans son sens le plus large possible de sensualité, de tendresse, de câlins, de proximité, d’intimité et ce d’autant que le besoin orgasmique est diminué avec l’âge. Le lien de complicité n’en sera qu’augmenté.

Les espaces relationnels

Cette union, c’est aussi, en fonction des différents liens et étapes de la vie du couple, évoluer dans des espaces différents sur le plan relationnel entre les deux membres.

Leurs relations ne seront pas les mêmes dans l’intimité, dans le cercle familial ou en présence de leurs enfants par exemple.

Ces espaces relationnels constituent des unités fonctionnelles. Les liens amoureux, de complicité et de communication y persistent mais y sont vécus et exposés différemment. On peut citer le couple :

  • "Intime", celui de sa sexualité, de ses confidences, de ses secrets.
  • "Social", espace où il interagit avec les autres dans les contextes amicaux, familiaux, professionnels, social de la vie quotidienne.
  • "Parental" où les rôles des deux membres deviennent des rôles d’éducation, de protection et également d’amour en dehors de la relation amoureuse. C’est aussi un espace d’aide, de soutien et de solidarité dans les tâches à accomplir et parfois dans les épreuves comme la maladie d’un enfant.

Il est ainsi sans cesse une entité en mouvements et en interactions bien au-delà de la personnalité propre de chacun de ses membres. Il est une conjugaison d’individus et de situations, tout au long du temps qui lui aussi va laisser son empreinte sur la relation.

La survenue d’une mésentente

Les difficultés affectives ou les étapes difficiles au sein d’un couple, on parle de « conjugopathie » (pathologie du lien conjugal au sens large), font partie de la relation et de son évolution. On parle également de mésentente conjugale, de conflit, de crise, etc., pour décrire la détérioration à la fois critique et durable de la relation22.

Ces difficultés peuvent ainsi résulter :

  • D’une différence d’évolution des sentiments entre les deux membres (mésentente), quelle qu’en soit la cause (routine, perte du désir, désamour, aventure extérieure, professionnelle, survenue d’une maladie, ménopause, etc.).
  • De l’apparition d’une difficulté sexuelle chez un des membres et qui aura des répercussions sur la qualité de l'intimité, sur le plaisir sexuel de l’autre, etc.

Les deux contextes se rejoignent le plus souvent, la mésentente retentissant sur le lien intime et sexuel (perte du désir, anorgasmie, trouble de l’érection) et une difficulté sexuelle venant altérer la complicité du couple au-delà de la seule complicité érotique (souffrance narcissique, mauvaises interprétations)23.

Quelle que soit la difficulté, et surtout si elle est prise en charge tardivement une fois ancrée dans le dysfonctionnement de la relation, sa résolution ne pourra passer que par la participation des deux membres à sa prise en charge, en intégrant :

  • Les spécificités de la difficulté en cause.
  • L’attitude des deux partenaires face au problème, même quand il ne concerne initialement qu’un seul des membres.
  • Le contexte sentimental et amoureux de la relation, sa dynamique depuis sa construction, une difficulté pouvant venir révéler une souffrance déjà ancienne.

Les thérapies de couples s’adressent à tous les personnes concernées24. Tous les types de thérapie présentent des efficacités semblables25.

L’important est que les sujets se sentent à l’aise pour s’exprimer et en accord avec les objectifs de la prise en charge proposée, et qu’il existe une réelle alliance thérapeutique avec le thérapeute.

Par ailleurs, qu’une thérapie se termine par un divorce n’est pas un échec de la prise en charge. Une séparation acceptée, comprise et consentie est préférable au retour à une relation apparemment stabilisée mais où persiste un risque non résolu de détresse conjugale.

Prendre soin l'un de l'autre au quotidien

La préservation de l’intimité affective, physique, intellectuelle du couple et des liens, qui unissent ses deux membres représentent le socle sur lequel la relation va s’épanouir et perdurer.

L’amour sur lequel cette intimité se construit doit diffuser dans toute la vie de la relation et inversement s’enrichir et se nourrir de cette diffusion.

Cultiver et entretenir le jardin privé de l’intimité

Outre les étapes de la vie d'un couple, l’intimité est le jardin privé, là où il se ressource et se régénère.

C’est réellement un lieu unique et privé, où il cultive la communication, l’amour, la tendresse, la sensualité, la complicité, les jeux érotiques, la sexualité, où l’engagement se réaffirme.

Ce sont des moments réservés exclusivement pour eux (journées, soirées, week-end, etc.), ce sont aussi des lieux comme la chambre par exemple, etc.

C’est également se rendre disponible pour l’autre et pour cette intimité, intellectuellement, physiquement, sentimentalement.

Diffuser dans la vie quotidienne

L’intimité d'une relation, c’est aussi donner à l’autre l’envie de cette intimité. C’est donc aussi des petits gestes tendres dans la vie quotidienne et relationnelle, s’attacher à être désirable, aimable dans ses comportements, ses mots, sa présentation, etc.

C’est ne pas cesser de vouloir séduire l’autre, lui donner envie de partager à nouveau le premier instant de la rencontre, envie de revivre cette rencontre augmentée de l’intensité du présent et enrichie de l’histoire de la relation.

La complicité, l’engagement, la communication doivent également faire partie de la vie quotidienne, sociale et parentale, comme des prolongements de l’intimité du couple, une continuité et une présence stables du lien amoureux.

L’amour exprimé dans l’intimité doit diffuser dans tous les espaces de la vie avec par exemple toute la tendresse, qui peut être perçue dans un regard ou dans un geste.

Communiquer avec bienveillance et empathie

La bienveillance et l’empathie sont les deux conditions essentielles de la communication dans le couple.

Les remarques, reproches, désapprobations ou demandes exprimées dans un climat de bienveillance et de confiance plutôt que de défiance sont ressenties complètement différemment. Tout comme laisser l’autre s’exprimer et l’entendre est le respecter.

Cette communication bienveillante et empathique, laissant toute sa place à l’autre, peut être considérée comme un prolongement de l’intimité ou plutôt du climat amoureux de cette intimité.

L’existence d’une telle communication vient également renforcer le lien important de complicité.

Pour conclure

Au gré de ses étapes, de ses phases et de ses espaces, le couple est sans cesse évolutif et la relation conjugale est perpétuellement à réinventer autour de la corde constituée des différents liens qui unissent les deux membres.

Il est essentiel de cultiver son intimité, sa complicité, de toujours communiquer, sous peine de voir les liens se rompre et l'union se déconstruire, parfois insidieusement sous l’effet de la routine, des habitudes, de la vie quotidienne, de la fatigue, etc.

Il est important de consulter un sexologue ou un thérapeute, si la vie du couple engendre de la souffrance chez l’un ou chez les deux partenaires. Si les individus n’arrivent pas à se retrouver, à évoluer, à retrouver l’amour et la sérénité, si la mésentente s’avère durable, si ils souhaitent retrouver le bonheur de vivre et d’aimer.

Questions fréquentes

Quels sont les liens qui vont fonder le couple ?

- Un lieux amoureux
- Un lien de complicité
- Un lien de communication
- Un lien d'engagement

Quelles sont les phases de la vie d'un couple ?

- La rencontre
- La phase de différenciation
- La phase de "famille conjugale"
- La phase du nid vide
- La phase du vieillissement

Comment faire perdurer le couple ?

- Privilégier des moments d'intimité
- Partager des moments de complicité
- Favoriser une communication bienveillante et empathique


  • 1Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 2Gérardin-Toran M. Thérapies conjugales. In Courtois F, Bonierbale M. Médecine sexuelle. Lavoisier Ed., Paris, 2016
  • 3Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 4Lansac J, Lopès P. Questions sexo. Eyrolles Ed.,2017
  • 5Lansac J, Lopès P. Questions sexo. Eyrolles Ed.,2017
  • 6Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 7De l’amour. Fragments d’un discours scientifique. Actes Sud Ed., Paris, 2019
  • 8De l’amour. Fragments d’un discours scientifique. Actes Sud Ed., Paris, 2019
  • 9Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 10Lansac J, Lopès P. Questions sexo. Eyrolles Ed.,2017
  • 11De l’amour. Fragments d’un discours scientifique. Actes Sud Ed., Paris, 2019
  • 12Gérardin-Toran M. Thérapies conjugales. In Courtois F, Bonierbale M. Médecine sexuelle. Lavoisier Ed., Paris, 2016
  • 13Lansac J, Lopès P. Questions sexo. Eyrolles Ed.,2017
  • 14Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 15Lansac J, Lopès P. Questions sexo. Eyrolles Ed.,2017
  • 16De l’amour. Fragments d’un discours scientifique. Actes Sud Ed., Paris, 2019
  • 17Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 18Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 19Ribes G, Fernandez L. Vieillissement et sexualité. In Courtois F, Bonierbale M. Médecine sexuelle. Lavoisier Ed., Paris, 2016
  • 20Rollet J. Vieillissemnt et sexualité. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 21Ribes G, Fernandez L. Vieillissement et sexualité. In Courtois F, Bonierbale M. Médecine sexuelle. Lavoisier Ed., Paris, 2016
  • 22Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 23Jarnoux M. Les conjugopathies. In Lopès P, Poudat FX. Manuel de sexologie. Elsevier Ed., 2014
  • 24Neuburger R. Thérapie de couple. Payot Ed., Paris, 2019
  • 25Gérardin-Toran M. Thérapies conjugales. In Courtois F, Bonierbale M. Médecine sexuelle. Lavoisier Ed., Paris, 2016
Philippe Schwartz

Sexologue, hypnothérapeute et relaxologue. Docteur en médecine. Consulte à Reims