Plantes anti-inflammatoires

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Un état inflammatoire se manifeste par une douleur localisée dans une région du corps, qui peut être invalidante. Outre des traitements médicamenteux, il existe des remèdes naturels qui permettent de soulager l'inflammation. Quelles plantes anti-inflammatoires peuvent être utilisées ?

Définition et termes clés

Laurier : une des plantes anti-inflammatoires.

Un état inflammatoire est le symptôme d’une douleur localisée sur une région du corps, ou affectant un système spécifique. Cet article s’intéresse aux plantes anti-inflammatoires en général mais renvoie également aux systèmes le plus souvent affectés par les inflammations :

  • articulaires, muscles et tendons ;
  • intestin et muqueuses ;
  • peau ;
  • ORL (sinusite, angine, poumon, gorge).

Elles auront une action ciblée contre cette douleur, en association avec le système concerné (son tropisme ou orientation). Elles ne concernent bien sûr qu’un symptôme bénin, une inflammation banale. Suivant la recommandation devenue classique, si les symptômes persistent, ou suivant l’intensité des symptômes, il est donc recommandé de consulter rapidement un médecin, pour ne pas passer à côté d’une cause médicale grave.

Symptômes

L’inflammation se caractérise par une douleur d’intensité variable (échelle de 1 à 10), elle peut être aiguë ou chronique. Une douleur chronique persiste par définition plus de trois mois, de manière continue ou intermittente1.

Les douleurs articulaires sont extrêmement répandues, en fonction de l’âge en particulier. La douleur abdominale est un symptôme fréquent, souvent sans gravité ou conséquence2. Avant de découvrir les plantes anti-inflammatoires adaptées, quelles peuvent être les causes de cette inflammation ?

Causes médicales

Il est souvent difficile de localiser une douleur. Elle peut être spécifique d’un organe (poumon, intestin, estomac…) ou d’un tissu (peau), mais nécessite souvent la consultation auprès d’un médecin qui approfondira sa localisation et son origine, et posera un diagnostic.

En particulier, dans le cas de la douleur thoracique, son intensité et sa perception par le patient (angoisse ou inquiétude) doit orienter rapidement vers le diagnostic d’un médecin car elle peut être le signal d’alarme d’une pathologie grave où le pronostic vital est engagé.

Une douleur abdominale, si elle est souvent sans conséquence, peut être aussi le signe d’une pathologie abdominale interne de gravité variable3.

Causes de terrain

En dehors des causes médicales avérées, avec des pathologies plus ou moins graves, les inflammations banales ont souvent des causes simples, qui peuvent être apaisées par des plantes anti-inflammatoires agissant sur le terrain.

L’équilibre acido-basique

Lorsqu'elle est banale, elle est généralement le symptôme d’une acidose : c'est-à-dire une acidité des tissus se manifestant par une douleur. Typiquement en naturopathie, elle est causée par l’un des trois acides suivants, qui sera identifié par l’examen de l’iris (iridologie) :

  • l’acide urique, issu de l’alimentation (fruits de mer, abats, charcuteries…);
  • l’acide oxalique provenant de certains légumes (oseille, rhubarbe, épinard);
  • l’acide pyruvique provenant d’une respiration incomplète.

Cette acidose se manifestera par des douleurs articulaires ou musculaires, mais également par une acidité des urines pouvant parfois être irritante pour le système urinaire.

Les allergies ou les intolérances alimentaires

L’intolérance d’un aliment, allant parfois mais rarement jusqu’à la réaction allergique, se manifeste par l’inflammation de la muqueuse digestive : œsophage, estomac ou intestin.

Les aliments incriminés dans les intolérances alimentaires sont souvent la protéine du blé (gluten) ou des laitages (caséine).

Les aliments à l’origine des allergies alimentaires sont le plus souvent : les œufs, le lait et plus précisément le lactose (glucide=sucre), les cacahuètes, le soja.

Le manque d’hydratation

Une consommation quotidienne d’eau, de préférence peu minéralisée (eau de source, 1 litre et demi par jour), favorise une bonne hydratation des membranes synoviales (pour les articulations, avec une plus grand fluidité des mouvements) et une meilleure élimination urinaire, donc un bon équilibre acido-basique. Un manque d’hydratation peut donc favoriser une acidose et un état inflammatoire.

Diagnostic

Outre les symptômes de douleurs, et leur localisation, une analyse de sang (sérologie) de type NFS (Numération Formule Sanguine), analyse des marqueurs de l’inflammation qui sont principalement :

  • Vitesse de Sédimentation (VS)
  • Protéine C-réactive (CRP)
  • Electrophorèse, profil protidique
  • Autres : orosomucoïde, haptoglobine

Il arrive que ces marqueurs soient élevés, c'est-à-dire qu’ils peuvent mettre en évidence un terrain inflammatoire, sans que l’on soit toujours conscient d’être en inflammation, c'est-à-dire sans ressentir cette douleur. Cela peut être le cas lorsqu’elle est interne non encore diagnostiquée.

Pour les inflammations en général, plusieurs remèdes, que ce soit des plantes, des huiles essentielles, des bourgeons ou des compléments alimentaires, peuvent s’avérer polyvalents.

Voici les principaux remèdes et plantes anti-inflammatoires reconnus pour leur efficacité sur ce type de terrain.

Phytothérapie (1, 2 , 3, 4), les plantes: tisanes, teintures-mères, gélules, poudres

Aubier de Tilleul (Tilia cordata ou platyphyllos)                           

Famille : Tiliacées

Parties utilisées : inflorescences, aubier (seconde écorce).

Principes actifs : acides phénols, proanthocyanidols, tanins, coumarine (fraxoside, esculoside), acides aminés, phloroglucinol.

Propriétés : draineur des voies urinaires et biliaires, lithiase, dyskinésie biliaire, draineur des acides : anti-inflammatoire, analgésique, antirhumatismal4.

Mode de préparation :

  • 4 cuillères à soupe pour 1 litre, faire bouillir jusqu’à réduction à ¾ de litre.
  • Ou 1 ampoule 3 fois par jour pendant 3 semaines, notamment à l’automne et au printemps.

Cassis (Ribes nigrum)                                                                

Famille : Grossulariacées

Parties utilisées : feuilles, baies, bourgeons.

Principes actifs : polyphénols, flavonoïdes, tanins (prodelphinidines, proanthocyanidines : baies), acides organiques, huile essentielle. Vitamine C (baies). Graines : huile à acide gamma-linolénique (oméga 6), acide stéaridonique.

Propriétés : anti-inflammatoire, analgésique, fluidifiant. Rhumatismes, goutte, douleurs articulaires, problèmes circulatoires, hypertension5.

Mode de préparation :

  • Tisane, 1 cuillère à soupe pour 1 bol, à infuser 10 minutes. 3 à 4 bols par jour, souvent associé au frêne Fraxinus excelsior et à la Reine-des-prés Spirea ulmaria (tisane du centenaire).
  • Bourgeons : 5 gouttes 3 fois par jour en macérât mère dans un verre d’eau.

Quelles sont les autres plantes anti-inflammatoires ?

Curcuma (Curcuma longa)                                                      

Famille : Zingiberacées

Parties utilisées : rhizome, poudre, huile essentielle.

Principes actifs : huile essentielle (zingibérène, turmérone), curcuminoïdes (curcumine), principes amers, résine, acides phénols (dérivés de l’acide caféique).

Propriétés : anti-inflammatoire, cholérétique, acidité gastrique, antioxydant majeur, antiradicaux libres, antibactérien, fluidifiant, hypocholestérolémiant, dermatologie.

Mode de préparation6 :

  • En poudre dans l’alimentation, 1/2 cuillère à café par jour, de préférence le soir.
  • Décoction du rhizome : 1 cuillère à café pour un bol, faire bouillir 5 minutes, infuser 10 minutes, 3 bols par jour.
  • Cataplasmes sur les dermatoses (psoriasis, mycoses) : 1 cuillère à café de poudre délayée dans un peu d’eau et appliquée localement 3 fois par jour.

Contre-indications : obstruction des voies biliaires. L’huile essentielle est déconseillée aux femmes enceintes, allaitantes et aux nourrissons.

Frêne (Fraxinus excelsior)                                                        

Famille : Oléacées

Parties utilisées : feuilles surtout, écorce.

Principes actifs : flavonoïdes, glucides (mannitol), hétérosides coumariniques (fraxoside), iridoïdes, tanins catéchique et gallique, sels de potassium.

Propriétés : anti-inflammatoire, diurétique uricosurique, draineur des acides, lithiase rénale, rhumatismes, goutte, œdèmes, rétention d’eau, obésité. Écorce : fébrifuge.

Mode de préparation :

  • Infusion de 30 g/l de feuilles, pendant 15 minutes. 1/2 litre à 1 litre par jour.
  • Fièvre : décoction d’écorce à raison de 50 g/l pendant 10 minutes, filtrer, et boire 3 à 4 bols par jour en dehors des repas.

Griffe du diable ou harpagophyton (Harpagophytum procumbens)   

Famille : Pedaliacées

Parties utilisées : racine latérale secondaire.

Principes actifs : iridoïdes (harpagoside, harpagide, procumboside), polysaccharides, acides phénols, flavonoïdes (quercétol), β-sitostérol, harpagoquinone.

Propriétés : anti-inflammatoire, antalgique (arthrite, arthrose, rhumatismes).

Mode de préparation :

  • 4 cuillères à café pour 1 litre, faire bouillir 3 minutes. Laisser macérer la nuit. Boire la journée suivante.
  • Extrait sec à 300 mg : 2 gélules 2 à 3 fois par jour. Cure de 20 jours par mois pendant 2 à 3 mois.

Contre-indications : grossesse, allaitement, hypertension artérielle, insuffisance rénale.

Laurier (Laurius nobilis)

Famille : Lauracées

Parties utilisées : feuilles

Principes actifs : lactones sesquiterpéniques (costunolide), alcaloïdes, huile essentielle (1,8 cinéole, linalol, eugénol).

Propriétés : tonique stomacal, apéritif, antiparasitaire, mucolytique, analgésique, antirhumatismal. On accroche parfois les feuilles de laurier pour éloigner les mites.

Mode de préparation :

  • 1 cuillère à soupe pour 1 bol, infuser 10 minutes. 3 bols par jour avant les repas.
  • Huile essentielle en application locale (aphtes et stomatite).
  • Rhumatismes : baume au laurier.

Ortie (Urtica dioïca)                                                                   

Famille : Lamiacées

Parties utilisées : feuilles ou racines.

Principes actifs : chlorophylle, minéraux (calcium, potassium, silicium, magnésium, fer), acides phénols (acétique, formique, caféique et chlorogénique), flavonoïdes, acides aminés libres, vitamines B, histamine, sérotonine, acétylcholine. Racines : phytostérols, lectines, glucanes, galacturonanes, lignanes, tanins.

Propriétés : draineur, anti-inflammatoire, tonique, astringente, hémostatique (stoppe les hémorragies), anti-allergique, troubles du sommeil et de l’appétit, anti-anémique, anti-énurésique, cholagogue.
Hyperplasie bénigne de la prostate (adénome) : racines.
Usage externe : tonifiant du cuir chevelu (racines, feuilles).

Mode de préparation :

  • soupe d’ortie, avec des feuilles fraîches ;
  • infusion : 1 cuillère à soupe de feuilles d’ortie pour 1 bol, infuser 10 minutes. 3 à 4 bols par jour ;
  • poudre d’ortie ou 2 gélules 3 fois par jour ;
  • adénome prostatique : 1 cuillère à soupe de racines d’ortie pour 1 bol, faire bouillir 5 minutes, infuser 10 minutes, 3 bols par jour ;
  • usage externe : faire bouillir pendant 15 minutes 100 g/l de racines d’ortie, laisser tiédir, filtrer, puis appliquer en lotion sur le cuir chevelu.

Plantain (Plantago major et Lanceolata)                         

Plantago major est également une des plantes anti-inflammatoires recommandées.

Famille : Plantaginacées

Parties utilisées : feuilles

Principes actifs : mucilages (graines), iridoïdes (aucuboside), flavonoïdes (apigénine), acides phénols, tanins, hétérosides phénylpropanoïques (verbascoside…).

Propriétés : anti-inflammatoire, anti-histaminique, hémostatique, cicatrisant : allergies, gastrites, ulcères, affections respiratoires. Usage externe : suc sur piqûre d’insecte, cataplasmes sur écorchures, collyre.

Mode de préparation :

  • 1 cuillère à soupe pour 1 bol, infuser 10 minutes. 3 à 4 bols par jour en dehors des repas.
  • Usage local : suc ou cataplasme.

Reine-des-prés (Filipendula ou Spiraea ulmaria)          

Famille : Rosacées

Parties utilisées : sommités fleuries

Principes actifs : hétérosides phénoliques (monotropitoside : salicylate de méthyle, spiraéine), flavonoïdes, tanins, huile essentielle. La plante séchée dégage une odeur caractéristique d’aspirine.

Propriétés : diurétique volumétrique, anti-inflammatoire, antirhumatismale, antalgique. Douleurs articulaires, goutte, rhumatisme, obésité, migraines.

Mode de préparation :

  • Infusion sans dépasser une température de 80 °C (eau à peine frémissante) : 1 cuillère à soupe pour 1 bol, infuser 10 minutes. 3 à 4 bols par jour entre les repas.
  • Teinture Mère : 40 gouttes 3 fois par jour dans 1 verre d’eau.

Contre-indications : allergie aux salicylés (aspirine et dérivés).

Scrofulaire noueuse (Scrofularia nodosa)                        

Famille : Scrophulariacées

Parties utilisées : feuilles

Principes actifs : iridoïdes (aucuboside, harpargoside, harpagide), glucosides cardiotoniques, anthraquinones, saponosides, flavonoïdes, acides phénols.

Propriétés : anti-inflammatoire (mêmes principes actifs que Harpagophytum procumbens), antirhumatismale, anti-arthrosique, neuroprotectrice, anti-diabétique.
Arthrose, mastoses fibro-kystiques, dermatologie (psoriasis, eczéma).
Usage externe : brûlures, ulcères.

Mode de préparation :

  • Décoction : 1 cuillère à soupe pour 1 bol, ou 20 g/l, infuser 15 minutes. 1 à 3 bols par jour.
  • Teinture Mère : 25 gouttes matin et soir dans un verre d’eau, pendant 3 semaines.
  • Usage externe : compresses, baumes.

Contre-indications : tachycardie, hypertension artérielle.

Aromathérapie : les huiles essentielles et les essences

Outre les plantes anti-inflammatoires, les huiles essentielles présentent également les mêmes propriétés7 8‌‌. Elles ont des propriétés soit antispasmodiques, soit antalgiques. La plupart peuvent être appliquées pures sur une douleur locale, sauf sensibilité particulière, mais il est préférable de les diluer dans de l’huile végétale à 20 % dans le cas d’une peau sensible :

  • Basilic tropical (Ocimum basilicum)
  • Camomille matricaire (Matricaria recutita)
  • Camomille noble (Anthemis nobilis)
  • Citronnelle (Cymbopogon nardus/winterianus)
  • Eucalyptus citronné (Corymbia citriodora anciennement Eucalyptus citriodora)
  • Gaulthérie (Gaultheria procumbens / fragrantissima)
  • Katrafay (Cedrelopsis grevei)
  • Laurier noble (Laurus nobilis)
  • Lavande fine (Lavandula angustifolia)
  • Menthe poivrée (Mentha X piperita)
  • Romarin à camphre (Rosmarinus officinalis ct camphre)

Bourgeons et gemmothérapie

Plusieurs bourgeons ont des vertus anti-inflammatoires9 10‌‌. Les plus importants sont les suivants.

Leur posologie est généralement la même : 5 gouttes 3 fois par jour dans un verre d’eau pour un adulte, pour une cure de 3 semaines. A partir de 5 ans, 2 à 3 gouttes une seule fois par jour dans un verre d’eau pour un enfant.

  • Cassis (Ribes nigrum) : douleurs articulaires et musculaires
  • Charme (Carpinus betulus) : sphères respiratoire et articulaire
  • Figuier (Ficus carica) : inflammations digestives
  • Frêne (Fraxinus excelsior) : douleurs articulaires et musculaires
  • Genévrier (Juniperus communis) : foie et articulations
  • Myrtillier (Myrtillus communis) : sphère digestive
  • Noisetier (Corylus avellana) : sphère respiratoire
  • Platane (Platanus vulgaris) : inflammations de la peau
  • Rosier sauvage, églantier (Rosa canina) : toute la sphère ORL
  • Vigne rouge (Vitis vinifera) : douleurs articulaires

Autres compléments alimentaires: gélules, poudres

Les plantes anti-inflammatoires peuvent être également consommées sous forme de compléments alimentaires. Parmi les compléments alimentaires, les deux suivants sont les plus polyvalents sur les inflammations en général. 11

Ananas (Ananas comosus) et bromelaïne                      

Famille : Broméliacées

Parties utilisées : tige de la plante, fruit.

Principes actifs : enzyme (bromelaïne), vitamines A et C.

Propriétés : détoxiquant, cure minceur, lyse des plaques d’athérome et des kystes. Digestion des protéines. Anti-inflammatoire.

Mode de préparation :

  • Poudre : 1 cuillère à café dans un ½ verre d’eau après repas.
  • Gélules : 2 gélules 3 fois par jour.
  • Fruit.

Curcuma (Curcuma longa)                                                      

Famille : Zingiberacées

Parties utilisées : rhizome, poudre, huile essentielle.

Principes actifs : huile essentielle (zingibérène, turmérone), curcuminoïdes (curcumine), principes amers, résine, acides phénols (dérivés de l’acide caféique).

Propriétés : anti-inflammatoire, cholérétique, acidité gastrique, antioxydant majeur, antibactérien, fluidifiant, hypocholestérolémiant, prévention du cancer, dermatologie.

Mode de préparation :

  • En poudre dans l’alimentation. ½ cuillère à café par jour, de préférence le soir.
  • 1 à 3 comprimés par jour de curcuma concentré en curcumine (souvent associé à la pipérine du poivre noir).

Contre-indications : anticoagulants.

Informations complémentaires

Vous pouvez en apprendre davantage à ce sujet :

Questions fréquentes

Qu'est-ce qu'un état inflammatoire ?

Il s'agit d'un symptôme, dont la douleur est localisée sur une région du corps, ou affecte un système spécifique.

Quelles peuvent être les causes ?

- Acidose
- Intolérance alimentaire ou allergie
- Hydratation insuffisante

Quelles plantes permettent de lutter contre l'inflammation ?

- Aubier de Tilleul, Cassis, Frêne
- Curcuma, Griffe du diable, Laurier, Ortie
- Plantain, Reine-des-Prés, Scrofulaire noueuse


  • 1Le manuel Merck des symptômes, Merck Research Laboratories, NJ 2008, éditions d’après
  • 2Le manuel Merck des symptômes, Merck Research Laboratories, NJ 2008, éditions d’après
  • 3Le manuel Merck des symptômes, Merck Research Laboratories, NJ 2008, éditions d’après
  • 4Guide de thérapeutique PERLEMUTER, éditions Elsevier Masson
  • 5La santé à la pharmacie du bon dieu, Maria Treben, éditions Ensthaler, réédition 2007
  • 6Traité Pratique de Phytothérapie, Dr Jean-Michel Morel, éditions Grancher Paris 2008
  • 7ABC de l’herboristerie familiale, Thierry Folliard, éditions Grancher, Paris 2009
  • 8Petit Larousse des Huiles Essentielles, Thierry Folliard, éditions Larousse, Paris 2014 réédité 2020 – Bible Larousse des Huiles Essentielles, Thierry Folliard, éditions Larousse, Paris 2016
  • 9Gemmothérapie, les bourgeons au service la santé, Stéphane Boistard, éditions de Terran 2016
  • 10Dictionnaire complet de gemmothérapie, Thierry Folliard, éditions du Dauphin, à paraître Paris 2021
Thierry Folliard

Naturopathe depuis 2009. Auteur de plusieurs livres dont la bible Larousse des huiles essentielles (2016) et l’ABC de l’herboristerie familiale (2009). Consulte à Paris 13ème.